lundi 14 mars 2011

CHRONOLOGIE. FLAMME. SUITE : de 89 à 99




Jidéhem, un grand dessinateur de chez Spirou, passionné d'automobiles , a illustré les chroniques automobiles de STARTER   s'attachant aux modèles les plus originaux des années 60. Puis STARTER s'est engagé dans ses propres aventures. Jean De Maesmaker, tres proche collaborateur de Franquin a accepté de nous prêter sa fille de papier, SOPHIE pour célébrer le bicentenaire de la Révolution Française. On ne peut oublier la grande fête orchestrée par le Fourrier à l'occasion des 40 ans de BD de son ami JJ.


Bon après 2 mois de vacances, je me remets au pupitre.


 Rupture aussi dans la chronologie ; le rythme de biennale n'a pas été tenu pour des raisons affectives et budgétaires. Pourtant en 90 on avait célébré dignement les 20 ans de NATACHA avec une superbe affiche ! 




 1993



ça y est voilà le BARU, célébré par Lobédé 17 ans avant Angoulême ! et 10 après ses premières cartouches dans PILOTE.
Bon BARU c'est notre Working Class Hero ou peut-être Rocking Class Hero. Il a tout compris de la place des gens dans l'explosion des 32 glorieuses.IL conserve intacte sa capacité d'indignation. Sa plume incisive lui permet de canaliser ses révoltes.




1995


 Marc HARDY a mis a l'ouvrage son fossoyeur préféré : Pierre TOMBAL sur les cachets, mais aussi sur une superbe affiche.
Marc n'a pas son pareil pour animer les soirées de lobédé...en tous cas il a la tête dure ...





1997


 Le Poje enfin au grand jour, depuis tout ce temps où il s'activait dans les couloirs de Lobédé, un casier de Jupiller à la main. C'est pas sa bière préférée. Comme son créateur,  Louis-Michel CARPENTIER, il est Brusselois et préfère la Gueuse.
Un peu éclectique dans ses créations, Louis-Michel est fidèle en amitié, il nous a ouvert ses portes et nous avons découvert une autre Belgique et son univers personnel très riche et parfois insolite .le 1er lobédé sans le Fourrier...





1999




La  Famille Lakouètche qui ont accompagné plusieurs générations de lecteurs du Républicain Lorrain, croqués par GEN-CLO . Ils ne survivront pas à Raymond MARIC. Le tandem incontournable de lobédé paraîssait indestructible et leurs héros présents  dans les pages du journal ne pouvaient manquer 1 seule parution, dimanche et jours fériés compris. Il se sont même "exportes" dans d'autres régions troquant leur patronyme lorrain pour des sonorité plus locales...
Lobédé ne pouvait perdurer non plus
ce fut le dernier lobédé sans le Fourrier.

Une prochaine rubrique sera consacrée aux enveloppes 1er jour créées à lobédé. .



 

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